❝ I tried to be like Grace Kelly but all her looks were too sad So I try a little Freddie, I've gone identity mad ! ❞ Angela Oswald |img@dailyzoesaldana /quo@mika|
─ patronyme complet:Angela, abrégé en un simple Angie – pour la grande Davis et la voix écorchée de Jagger. Oswald, comme une mère, l'équation familiale n'ayant jamais admise de géniteur. Nom de jeune fille, aussi, repris il y a peu, depuis la fin de son mariage qui avait fait d'elle une Myers. ─ âge, date et lieu de naissance: Elle voit le jour, il y a quarante ans de cela, sur le palier du troisième étage de l'immeuble familial, un premier août. Banlieue londonienne, Chelsfied, UK. Un cap a donc été franchi et elle tente de l'apprivoiser, de s'y faire. ─ métier, études et situation financière: Galérienne un temps, à enchaîner les petits boulots, aujourd'hui self-made woman. D'agent d'entretien, elle est devenue agent artistique, impresario pour l'un des groupes les plus en vogue du moment, KREA-TION. ─ statut civil:Divorcée, maman célibataire. C'est que Papa s'est fait la malle avec une petite jeunette l'année dernière et depuis, c'est la guerre. ─ à new-york depuis:Trop longtemps, soit presque vingt ans. Envisage de rentrer au bercail mais sait que cela ne serait pas responsable. ─ caractère: ambitieuse, responsable, caractérielle, ponctuelle, exigeante, froide aux premiers abords, élégante, franche, sarcastique, bavarde, control-freak. ─ groupe:Outsiders, le temps passé sur les terres de l'Oncle Sam n'ont jamais su devenir maison. ─ avatar choisi: Zoë Saldana.
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Control-freak, Angie ? À peine. Elle ne supporte les imprévus et les surprises lui vont si mal au teint. Alors, pour remédier à toute hypothétique crise de nerfs, la belle planifie l'écoulement entier de son existence, ne laissant de marge pour aucun débordement. Des simples courses hebdomadaires aux choses à faire d'ici dix ans, rien n'échappe à sa discipline, cette volonté de fer qui la caractérise si bien. Les preuves de ce penchant excessif pour l'organisation seraient les post-its et autres to-do lists qu'elle sème sur son passage. // Son accent so british lui vaut maintes remarques, surtout depuis le très déplaisant Brexit. Enfin, faut dire que les ricains la ramènent moins depuis l'élection de Trump, balançant à tout vain des #NotMyPresident. // Cliché de la femme active, elle carbure aux tasses de café et pauses clopes inavouées. // La rumeur veut que son père ait été jamaïcain mais légende urbaine il restera. // C'est de grand-père maternel qu'elle tient sa passion dévorante pour la musique. Et ses connaissances en solfège. // Elle fait la rencontre de Cole Myers lors d'une soirée huppée où sa meilleure amie et elle réussirent à s'incruster. Coup de foudre ou coup de tête, la différence est sûrement minime mais il est clair qu'entre eux, la passion se fit comme instantanément reine. Angie quitte tout pour le suivre à New-York, lui, le bel américain à la vie si trépidante – ce genre de quotidien dont la gamine des quartiers qu'elle était avait toujours rêvé. // On l'a souvent traitée d'opportuniste, Cole ayant en partie financé ses études supérieures. Soit. Il n'empêche que les échelons du monde dans lequel elle évolue aujourd'hui, elle les a gravit seule, sans l'aide de personne. // Angie a commencé comme assistante, au sein de la boîte de management où elle officie aujourd'hui en tant qu'agent artistique senior. Notez, oui, cette preuve d'ancienneté, gage de confiance et de respect. // Même si son boulot la passionne, sa priorité reste ses enfants, âgés de vingt ans (bientôt la majorité américaine, au grand dam de la mère) et douze ans. // La découverte de son premier cheveu blanc lui est restée en travers de la gorge. // Jackie, c'est sa meilleure amie. Entre elles, ce fut comme une évidence. Elles se rencontrent à une soirée caritative, aux bras de leurs avocats de mari et passent à la soirée à deux, si bien qu'elles finiront par dérober une bouteille de champagne et à la boire en arpentant les rues de Manhattan. Aujourd'hui, elles partagent tout. Les projets de vacances, les paires de chaussures et surtout les mariages foireux. Divorcées, décomplexées, elles se fichent bien du reste du monde, tant qu'elles sont à deux. // Quelque peu hypocondriaque, elle ne peut s'empêcher de vérifier le moindre symptôme qu'elle juge douteux sur Internet. Fausse bonne idée. // Elle est très connectée. Trop, peut-être. Les réseaux sociaux n'ont aucun secret pour elle, si bien que KREA-TION n'aurait presque que besoin d'elle, comme community manager. // L'échec de son mariage et la fuite de celui qui fait aujourd'hui figure d'ex-mari avec une gamine d'à peine vingt ans l'ont sévèrement marqués, si bien qu'elle se refuse à toute relation impliquant une once de sentiments. Une partie de jambes en l'air, néanmoins, est fortement négociable. // Elle ne veut plus jamais entendre parler de Cole mais ne souhaite en aucun cas braquer leurs enfants contre lui, quoique cet imbécile ose rétorquer. // Elle jure, à tort et à travers, pour tout et n'importe quoi. Avec le sourire, cependant. Quitte à faire bouchère, autant être une bouchère élégante. Oui, ceci n'a aucun sens. Faut pas juger, c'est un adage inventé par son étrange mère. // Consciente de son charme, Angie n'hésite en aucun cas à en faire l'usage lorsque cela lui apparaît comme nécessaire. // À quarante ans passés, Angie garde la silhouette de sa vingtaine et un métabolisme à en faire envier plus d'un. Si les rageux disent Photoshop, Angie, elle, ne met en cause que Dame Nature et sa bonté. // KREA-TION est sa fierté, son petit bébé. Pourtant, en tant que manager, elle peut souvent apparaître contradictoire, difficile à cerner – bichonnant les membres du groupe telle une mère, elle se transforme aisément en véritable harpie au moindre écart, susceptible de venir entacher la réputation du groupe, qu'elle se démène pour s sa part à faire perdurer. // Sa phrase préférée ? Aaron Collins est un homme mort. C'est qu'elle n'a jamais pu l'encadrer, cet Aaron. Déjà, sur les bancs de l'université, lui et ses grands airs, lui et son éloquence, lui et son imbécile de sourire, encore et toujours, avaient eu raison du peu de sympathie qu'elle s'était autorisée à lui réserver. Les deux principaux intéressés étant devenus des adules responsables et mûrs, la hache de guerre aurait pu être enterrer. Utilisation du conditionnel à souligner, néanmoins. C'est qu'Aaron est réapparu dans la vie d'Angie il y a peu. Lui aussi, devenu agent, défend les intérêts d'un autre groupe de rock. Nouveaux venus dans l'industrie, bien partis pour subjuguer le public, jusque ici habitué aux performances de KREA-TION. Chasse gardée, donc, concept qui semble échappé au dénommé Aaron. Il semble prêt à tout, pour que ces poulains connaissent la gloire, quitte à la jouer salement. Et ça, Angie n'apprécie guère, n'est pas prête de se laisser faire. #PussyGrabsBack, pourrait-on dire.
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pseudo|prénom: c'est encore moi âge|pays: 17 ans, france. fréquence de connexion: dès que je peux. personnage: scénario, inventé. dernier commentaire: BISOUS BISOUS
Dernière édition par Angie Oswald le Lun 1 Mai - 18:46, édité 22 fois
8h32, Appartement de Jax. Enfin, voilà l'étage de Jax. Angie aide le musicien à s'asseoir sur l'une des dernières marches, le temps de fouiller ses poches et retrouver ses clefs. Une fois la porte ouverte, le jeune homme traine des pieds derrière sa manager, se plaignant d'un affreux mal de tête. « Fallait y réfléchir avant de boire comme un trou, mon cher. » Quel bordel. L'appartement ne ressemblait à rien, si ce n'est un champ de bataille. Angie soupire. Elle allait devoir intervenir, faire quelque chose. Elle avait déjà vécu ce moment. Presque dix ans auparavant. Un de ses poulains, partant en vrille. Ce n'était pas Jax mais Salim. En attendant, les risques restaient les mêmes. Pour lui, comme pour elle. « Va te coucher, je te fais un thé. » On dirait une mère. Chose qu'elle était après tout. Pour de vrai et puis, au boulot. Au sens figuré. Toujours là pour le bien-être de son groupe, toujours là pour les sermonner au besoin. Thé infusé, l'anglais rejoint Jax, le retrouve affalé sur ses draps. Elle s'autorise à prendre place au bord du matelas et plante son regard sombre dans les pupilles dilatées de l'irlandais. « Faut qu'on parle. » C'est pas le moment, qu'il maugrée. « C'est jamais le moment, avec toi, de toute manière. » Elle a pas envie, Angie. De lui faire la morale, de jouer au flic. Mais avait-elle vraiment le choix ? Non. « Je comprends qu'en ce moment, ce soit pas facile. Et si t'as besoin de souffler, je peux m'arranger pour te trouver un coin sympa, à l'abri de ces cons de paparazzis. Mais te bourrer la gueule en boîte et manquer d'en tabasser un pour la troisième fois, honey, ce n'est pas la solution. » No shit, Sherlock. Haussement d'épaules du principal intéressé. Bon. « Les autres vont en avoir marre de payer ta caution, je pense. » Dixit celle qui des semaines durant, assuma celles laissées par Salim. Elle ne voulait simplement pas en arriver à cet extrême, Angie. Jax, elle l'appréciait. Beaucoup. Comme les autres. Elle ne voulait que leur meilleur. Malgré son caractère de cochon et ses directives bien trop souvent éreintantes.
13h07, Vous avez un message. « Oui, bonjour, ici Mr Granger, le proviseur adjoint. J'appelle au sujet de votre fille, Lou. Sa professeur principale est inquiète concernant ses notes qui sont en chute libre et souhaiterait organiser une rencontre. Est-ce que lundi prochain vous conviendrez ? Merci de rappeler au plus vite. Bonne fin d'après-midi, Mme Oswald. »
15h12, Bureau d'Angie. « Putain de merde de – Hestia, apporte moi un café. ! Maintenant ! » La porte claque et Angie s'affaisse sur le canapé jouxtant ses étagères emplis de contrats et autres documents scellant les années futures de KREA-TION. Inspiration, expiration. Ses escarpins virevoltent dans les airs, elle ôte son blazer. Bon. Il y a après tout, plus grave dans la vie. Comme un mari qui décide de plaquer presque vingt ans de vie commune pour une demoiselle de cet âge, par exemple. Ceci était une autre histoire, à laisser au fond d'un tiroir. Angie soupire. Aaron Collins venait donc de lui déclarer la guerre. À elle et ses années de travail, passées à faire de KREA-TION, le succès qu'ils étaient aujourd'hui. Et Angie Oswald était bien décidée à le lui faire regretter. La figure de son assistante la tire de ces pensées pénibles, lui écorche un sourire crispé, qui fera office de remerciement. Elle attrape sa dose de caféine, qu'elle termine d'une traite. « Tu vas devoir enquêter sur ce groupe, blabla. Je veux toutes les informations possibles, sur chacun des membres. Tout, tu m'entends ? Même les détails inutiles. Et si possible des images, aussi. Beaucoup d'images. T'as compris ? Allez hop, au boulot.» Toujours aussi aimable, la patronne. D'un geste de la main, elle fait signe à la pauvre Hestia de déguerpir. Il était temps de passer à l'offensive. Aaron voulait jouer, ils allaient donc le faire. Prétexter la fin du groupe éminente en raison des fiançailles (désormais officielles et ce contre l'avis de la manager – pourquoi ce gosse n'écoute-t-il donc jamais ?) de Salim était une chose. Mais ressortir les terribles souvenirs que furent la cure de désintoxication de ce dernier et souligner les récents déboires de Jax, quitte à faire passer quelques images et billets verts aux tabloïds, cela ne passait pas. Pas du tout. Pire encore. Il y avait ce blog, géré par elle ne savait quel imbécile, inventant des liens entre une inconnue au bataillon et son poulain de musicien. Enfin, inconnue. Pas tout à fait. C'était l'irlandaise, celle qu'elle avait ordonné à Salim de quitter à leurs débuts. À croire que le monde entier avait décider de se liguer contre Angie. Quoiqu'il en soit, Aaron ne devait pas être étranger à ces soudaines rumeurs venant entacher la réputation à peine préservée du groupe. Il lui avait fallu tant de temps, pour convaincre les américains, convaincus du talent des uns mais effrayés par le tempérament des autres. Angie n'allait pas rester les bras croisés, à voir sa persévérance ainsi trainée dans la boue. Elle a la rancune sévère, l'anglaise. Et ça, Collins semblait l'avoir oublié. La piqure de rappel ne saurait tarder.
22h49,
Jackie a écrit:
Babyface m'a posé un lapin, je peux taper l'incruste ce soir ? J'ai un superbe blanc. Français. Comme tu les aimes. (on parle de vin, qu'on soit d'accord).
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you know she's waiting, just anticipating; for things that she'll never possess.
Dernière édition par Angie Oswald le Lun 1 Mai - 19:05, édité 16 fois
- me and the city carnet d'adresses: disponibilité rp: alicja, saskia, andy (open)
Sujet: Re: ( madame rêve ) Dim 23 Avr - 15:54
(back again )
zoé rebienvenue honey, bon courage pour la fiche de ta belle
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never know what it's like to be the life of the party
all these people are passed out on the floor in my hotel room, I don't know half of them but they all wanna know me ✻ somewhere in between who I used to be and who I'll be tomorrow when the champagne blows my mind. thrills don't come for free, the price you pay for dreams. in a sea of strangers, I can't find me anymore. (all time low, life of the party)
I remember years ago someone told me I should take caution when it comes to love. I did and you were strong and I was not. My illusion, my mistake. I was careless, I forgot. I did. And now when all is done. There is nothing to say.
- me and the city carnet d'adresses: disponibilité rp: 1/3 (jedediah, maebh)
Sujet: Re: ( madame rêve ) Dim 23 Avr - 16:39
Tu sais déjà ce que j'en pense. T'es canon, rebienvenue !
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Je t'ai cherché, partout même ailleurs. Je t'ai trouvé, où que tu sois, je m'endors dans tes regards. Même sans toi, je ne serai plus jamais seule. Puisque tu existes quelque part... ☆
ayyy, tu vas voir haha, faut le manager qui va avec le groupe love you too
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you know she's waiting, just anticipating; for things that she'll never possess.
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Sujet: Re: ( madame rêve ) Dim 23 Avr - 22:39
OH. MON. DIEU. alors déjà, le pseudo, ok c'est bon. mais zoë je suis quels choix, c'est kozncicniecfencfe omg (mais ça m'étonne pas de toi, en fait) bref, bienvenue à la maison
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Sujet: Re: ( madame rêve ) Lun 24 Avr - 23:22
rah zoé est un choix vraiment cool. rebienvenue avec ce nouveau personnage.
So long, sweet words don't have no use for you anymore. No one to say them to so what in the hell would I hold on to them for? And today's a special day, a celebration Cause I've finally come to accept this fact.
So long, sweet words don't have no use for you anymore. No one to say them to so what in the hell would I hold on to them for? And today's a special day, a celebration Cause I've finally come to accept this fact.
I remember years ago someone told me I should take caution when it comes to love. I did and you were strong and I was not. My illusion, my mistake. I was careless, I forgot. I did. And now when all is done. There is nothing to say.