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| Sujet: (m) like all the missing pieces of my heart, they finally collide. / libre Sam 28 Jan - 20:18 | |
| ❝you're in my veins❞ nom, thomas |@tumblr /@andrew belle|
trente ans | professeur à l'université | célibataire | outsiders
caractère: thomas, c'est la force tranquille. il n'est du genre à faire des vagues. loin de là même. il a toujours été celui qu'on ne remarque pas. celui qui traîne dans son coin. il n'aime pas se faire remarquer. ou être trop dans les projecteurs. il aime le calme. pourtant il n'en est pas antipathique. non loin de là. il fait son mystérieux. mais il a un coeur en or. quand on le connait bien, c'est un homme charmant et adorable. pourtant, il est vrai qu'il faut parfois beaucoup de temps pour casser cette carapace perçue des fois comme froide. peu y sont arrivés, mais cela vaut toujours le coup avec lui. à savoir sur le personnage: il est né dans une famille aimante et très attachante. il n'a jamais manqué de rien. loin de là. il était la prunelle des yeux de ses parents. ils lui ont d'ailleurs toujours dit qu'il avait été adopté. mais cela lui était égal. il se fichait pas mal de savoir qu'au final il n'était pas leur enfant biologique. c'était ses parents et il les aimait. certes. il s'est posé de nombreuses questions sur son adoption. le pourquoi du comment en fait. mais cela ne l'a pas empêché de vivre loin de là. il était un élève assez moyen au collège puis au lycée. il a fini par faire des petits boulots au grand damne de ses parents. ils auraient voulu le voir avocat. médecin aussi. mais rien de tout ça. il a vogué dans des petits jobs le temps de trouver celui qui lui correspondait réellement. et il a eu raison. un soir, l'année de ses vingt-deux ans, il s'est assis devant son ordinateur et a commencé à taper sur son ordinateur. des anecdotes sur ses jobs minables. des autres anecdotes sur sa vie totalement normale et déprimante. son personnage lui ressemblait énormement. un mec totalement perdu dans une vie où il ne trouve pas son sens. il a fini par en faire un livre. il en était fier de ce livre. à nos coeurs perdus. c'était son titre. un hymne à la solitude. à la recherche d'amour. il a longtemps hésité. mais il a fini par l'envoyer à un éditeur à new-york. il n'en attendait rien en fait. seulement voilà. surprise. l'élève moyen avait un style. une plume. il devint alors une figure dans ces nouveaux écrivains. un jeunot au beau style. alors il a continué. mais il est resté dans sa province. et anonyme aussi. on connait son nom. mais pas son visage. enfin. jusque là. parce qu'il y a trois ans, il a été contacté. par une université. celle de new-york. rien que ça. on le voulait comme professeur. ça l'a surpris. vraiment. lui qui n'avait jamais été le premier en français on le demandait pour des cours. l'ironie du sort. il a longtemps hésité. surtout par rapport à ses capacités. et à son anonymat aussi. parce qu'il écrit toujours. c'est devenu son métier. et il publie toujours. dire qu'il est l'auteur en vogue serait mentir. mais ça marche vraiment pas mal pour lui. alors il a juste demandé une faveur à l'université. ne pas ébruiter sa venue. juste comme s'il était un professeur lambda. alors il a accepté. et a élu domicile à new-york. c'était le rêve américain. son cours, écrire la vie, est devenu une véritable passion pour lui. il s'y rend avec joie. pourtant voilà. il y a six mois, il a eu des malaises. en plein cours. le verdict est tombé. comme une guillotine. tumeur au cerveau. il s'est soigné. jusqu'à maintenant. mais il a perdu espoir. totalement. il a arrêté la chimiothérapie. à quoi bon selon lui ? on peut dire qu'il a perdu goût à la vie certes. propositions d'avatars: sam claflin ( ), ryan gosling michiel huisman, jake gyllenhaal, ou autres dans le même genre en fait, qui fait son âge et qui est libre dans le bottin. petit plus: déjà, je tiens à vous remercier de l'attention que vous portez à ce scénario. il me tient très à coeur. pour vous dire, cela fait énormément longtemps que j'ai ce personnage en tête, et le voir prendre vie m'est très cher. ainsi évidemment, comme vous vous en doutez, j'ai quelques exigences. oh rassurez-vous rien de très énervant. pour l'avatar, j'ai construit le personnage avec sam, il a même été interprété avec cette bouille. alors c'est vraiment mon numéro un. j'aurais du mal à en imaginer un autre, je vous l'avoue. après s'il est pris dans le bottin, je vous ai noté quelques noms juste au dessus pour vous guider. évidemment, vous pouvez m'en proposer un autre mais je gade quand même un droit de véto. concernant l'histoire, je conçois qu'elle est assez complète. néanmoins, je pense que j'ai assez laisser de blanc, notamment au niveau de son histoire personnelle au niveau de ses amours. -pourquoi pas un passé amoureux difficile ?- après elle est assez malléable et on peut très bien voir ensemble ce qui pourrait vous chagrinez. j'aimerais néanmoins que les grandes lignes soient respectés et que vous ne partiez pas dans de l'irréel avec une vie totalement dépressive à s'en pendre -la fin l'est déjà assez je pense-. pour le lien, évidemment, il est non-négociable, sinon ce scénario n'aurait pas lieu d'être. évidemment, vous pouvez très bien venir me voir pour quelques réorganisations, il n'y a aucun soucis. j'en serais même ravie, je vous jure je ne mords pas. pour ce qui est du rp en général, je ne suis vraiment pas difficile. si vous faites le minimum du forum cela me va amplement. il y a juste l'orthographe, où je serais un peu plus intransigeante même si je conçois qu'on est tous humain et qu'on fait tous des fautes, moi la première. mais s'il vous plait, relisez-vous au moins. il reste alors la présence, là dessus, je ne suis pas vraiment chiante. je sais qu'on a des empêchements, des imprévus, des semaines plus chargées que d'autres. alors du moment que vous ne délaissez pas le petit et que vous le fassiez évoluer, ça me va. en tout cas si vous nous rejoignez, je vous offre une boîte de cookies maison. maddy a vraiment besoin de son thomas. et pis avouez que le couple jette non ? non ? je vous jure que vous ne vous ennuierez pas avec les deux-là. je vous promets de l'amour, des larmes, des disputes, de la joie et du drama. bref, que des rebondissements croyez-moi. vous ferez de moi la fille la plus heureuse du monde si vous prenez mon scénario et je vous ferais un temple au chocolat avec les cookies rien que pour vous. ‘ darling, don't be fooled ’ les deux ne se sont pas rencontrés dans des conditions très propices il y a six mois. il était tard. bien trop tard. maddy et sa copine caroline rentraient de soirée. maddy tenait à peine sur ses jambes et son amie avait bien du mal à la ramener à l'appartement. cette première, bien éméchée, s'amusait à dire bonjour à tout le monde. au bout d'un moment, elle rencontrait thomas. ce dernier lui répondit. il était poli. il se rendait elle ne savait où. madilyn a totalement craqué et a trouvé sympathique sa barbe. ivre, elle est bien trop tactile avec les gens. elle s'en est donné à coeur joie, trouvant sa barbe et ses cheveux bien doux. thomas était plus que surpris mais ne s'est pas énervé. il a pris ça plutôt bien. il savait ce que c'était que de n'avoir que vingt ans ou presque. il a bien remarqué la difficulté de caroline a ramené son amie. cette dernière est même tombée par terre. ainsi il proposa son aide à la blonde. d'abord méfiante, elle finit par accepter. son aide fut précieuse. parce que maddy est bien intenable quand elle a bu. il lui donna même son chapeau noir à la petite brune. cette dernière fut ravie et finit par le garder. ils se sont alors détachés. pour ne jamais se rencontrer. new york est donc bien grand. et maddy n'a que des souvenirs nébuleux de cette rencontre. pourtant, elle a senti un truc. c'est assez compliqué à décrire en fait. mais elle ne sait. en y repensant, c'était étrange. elle a d'ailleurs gardé le chapeau. il traîne sur sa commode. lui a continué sa vie. seulement voilà. le lien est évolutif. sans qu'ils ne voient. parce que les deux vont se rencontrer à nouveau. à l'université. thomas sera le professeur de maddy. le cours d'option qu'elle aura pris. c'est caroline qui va lui indiquer qui est thomas. lui va aussi la reconnaître. très bien même. elle viendra le voir à la fin du premier cours. il pensera à la soirée. mais pas du tout. elle voudrait lui parler de ses livres. parce qu'elle les adore. vraiment. ils finiront par en parler. beaucoup trop. un lien se tissera entre eux. il aimera sa joie de vivre. son euphorie vitale. son envie de croquer la vie à pleine dent. et puis, elle s'attachera à son côté mystérieux. et puis à son sourire. ils s'attacheront l'un à l'autre sans réellement le vouloir. sans le préméditer. et puis, il y aura ce baiser. involontaire. pris dans l'action. lui, il le prendra mal. parce qu'au final, il n'a pas le droit de s'attacher. non. avec sa tumeur il n'en a pas le droit. il la repoussera. elle ne comprendra pas. enfin jusqu'au jour où elle finira par l'apprendre. c'est idiot. parce que les deux ont besoin l'un de l'autre. lui l'apaise, la calme dans ses excès. et elle, elle est le souffle de vie dont il a tant besoin. elle lui redonne goût à la vie sans qu'il s'en rend compte. ensemble, ils dansent sur la vie dans de tumultueux rumbas. ils sont complémentaires et indissociables. sans lui, elle court à sa perte. elle s'abîme dans la joie. dans les soirées où elle boit trop. et pis lui, sans sa présence, il tombe. littéralement. la vie est cruelle avec eux. et ils ne le savent même pas encore. - parties de ma fiche qui aident à comprendre leur rencontre:
« hellooooo woooorld. » tu ris. non en fait t'exploses de rire. c'est pas pareil. tu t'accroches au coup de ton amie. la pauvre, elle plie presque. mais elle tient bon. elle te tient par la taille. parce que tu tangues un peu. t'es joyeuse. trop peut être. tu lèves les bras. tu voudrais accueillir le monde. même si t'as la vision qui se brouille. ou que ça brûle sur tes joues. « calm down, maddy ! » elle rit à moitié. parce qu'au final c'est elle qui trinque. et pis t'as une façon de dire bonjour à tout le monde. t'es une crême quand tu bois trop. c'est presque ce qui lui fait peur. parce que sans elle tu sais pas ce qui aurait pu se passer. elle a bien vu le goujat qui t'a parlé toute la soirée. un vrai jerk. un mec qui voulait te faire boire encore et encore. c'est elle qui t'a stoppé. mais t'étais déjà bien déchirée. pauvre de toi. aucune volonté. juste le gout sucré du plaisir. t'as aucune limite. « oh ! they don't answer me, caroline ! » tu fais la choquée. la fille trop surprise de tant d'impolitesse. après tout qui répondrait à une fille complètement ivre ? mais t'y penses pas. tu te sens tellement bien. c'est moche. et un peu pathétique. mais tu le vois pas en fait. « yeah, i know, i know maddy. » elle soupira. mais tu le vois. tu tournes déjà ton regard autour de vous. à droite. à gauche. la ville est calme à cette heure-ci. deux heures du mat. il n'y a que de rares étudiants rentrant de soirée. comme vous en fait. c'est là où tu le vois. un homme. un grand manteau noir. il marche à vos côtés pour aller vers une direction. il marche vite. toi vu ton taux de gaieté. t'as envie de parler à tout le monde. tu pourrais hurler de joie tiens. « hellooo, i'm maddyyyyy. » il tourne la tête vers toi. tu souris de toutes tes dents. « hello. » simple. efficace. toi ça te met en joie. parce que c'est le seul qui t'a répondu de la soirée. parce que c'est le seul à ne pas t'avoir regardé comme si t'étais une extra-terrestre. ou à te prendre pour un morceau de viande aussi. « maddy, calm down. » elle se tourne vers lui. « sorry, she's just a little bit tired. » fatiguée. c'était plus que ça. t'étais ivre. bourrée même. toi tu fais même pas attention à eux. t'es captivée. par quoi ? par sa barbe. tu sais pas réellement le pourquoi du comment. mais c'est comme ça. elle parait douce. comme ses cheveux. t'as envie de la caresser. tu vois déjà tes mains dedans en fait. et c'est ce que tu fais. tu te fiches pas mal de ce qu'il pourrait penser. tu te postes juste devant lui. bien trop rapide pour la pauvre caroline. et tu mets tes mains sur son visage. « maddy ! » elle semble mal à l'aise. toi t'es contente. « it's so fluffyyy. » tu souris comme une idiote. l'homme semble surpris lui par contre. normal. « i'm sorry, she's just... » elle tente de te détacher. seulement t'es déjà pas très stable de base. mais avec l'alcool c'est encore pire. tu manques de tomber. en fait non. tu tombes sur les fesses. pouf. comme ça. tu te mets à exploser de rire. même pas mal. « oh god. » elle dit juste. « need some help ? » il finit par dire. il semble voir la désespérance de la situation sans doute. « oh no, it's okay. our appartment is near from here. » elle répond. après tout. elle a toujours été trop méfiance. c'est peut être un violeur qui sait ? il doit le sentir. parce qu'il sourit. « don't worry, i don't want to kidnap you or everything else like this. it's not really my business. » il tente de faire de l'humour. de détendre l'atmosphère en fait. il a pas tord. caroline, elle doit un peu l'admettre. parce qu'elle te voit déjà tomber dans les escaliers malgré sa vigilance. il y en a beaucoup pour aller à ton appartement. alors elle finit par soupirer. elle cède. « promise me you don't kill us in a corner. » il rit alors. alors que toi t'es toujours par terre à t'extasier sur ton pantalon. « promised. by the way, i'm thomas. » caroline hoche doucement la tête. « caroline. and... maddy here. » et pis ils se concentrent sur toi. ils t'aident à te relever. tant bien que mal. mais ça va. toi tu t'accroches à eux. enfin surtout à lui. il passe une main sur ta taille. te maintient. parce qu'à la prochaine marche tu vas surement encore t'écrouler. pauvre de toi. t'aurais pas du boire autant. mais c'est plus fort que toi. t'as pas eu conscience. tu t'es juste amusée et t'as bu ça comme du petit lait. grave erreur. c'est bien dommage. parce que cette soirée. elle restera comme un rêve. un souvenir nébuleux. des brides de phrases sans rien. tu te rappelleras à peine de son prénom. juste son visage. c'est bien triste. enfin.
« oh god. i'll never drink again. never again. » t'as le mal de crâne. celui bien carabiné. ça se voit à ta tête. c'est à peine sur la lumière ambiante ne te tape pas sur le système. tu tournes ta cuillère dans ton verre de doliprane. elle, elle rit. elle peut. « you always say that. and you always do it again. so.. don't make promises you can keep. it would be so disappointed for yourself. » elle s'assoit en face de toi avec un bon bol de café. et un croissant. toi ça ne te donne même pas envie. en fait. rien qu'à voir la viennoiserie t'as envie de vomir. c'est comme ça. « next time. just try to drink just a little less. one or two drinks. » elle rajoute. elle a pas tort. toi tu sais pas trop. en fait tu sais pas tellement comment t'as fini dans cet état-là. « i don't know. you know, yesterday, i had so much fun that i didn't really realize what i did. » tu fais la moue. t'es désespérante en fait. t'as envie de vomir aussi. caroline, elle. elle ose les épaules. « it's also this boy's fault. » tu ne comprends pas. « you don't remember ? such a jerk. he insisted that you take another drink, you refused. before finally giving in. He didn't let go. » tu la connais cette tête. celle de la maman pas contente. celle qui réprimande une enfant ayant fait une bêtise. tu te souviens de lui. c'est vrai. il était idiot. tu peux pas le nier. mais t'avais laché prise. comme à chaque fois. ça t'avait fait du bien. t'aimais cette sensation. en fait t'avais pas aimé rester avec lui personnellement. t'avais vu aimer le fait de pouvoir ressentir toutes ces possibilités. oui c'était ça. tu le comprenais maintenant. tu passes une main dans tes cheveux courts. « to conclude. what a night. » tu conclues. ouais. quelle nuit. et pis tu te souviens d'un truc. tu désignes le canapé où t'as posé l'objet. « you know where this hat comes from ? i found it on the floor of my bedroom. » tu dis. caroline elle a un petit sourire, elle. elle mange un bout de son croissant. toi tu veux comprendre. parce que tu vois pas à quoi elle peut penser. ce chapeau tu t'en souviens pas. mais alors vraiment pas. c'est comme une nébuleuse dans ta tête. « it's thomas' hat. » elle te répond. tu comprends encore moins en fait. « it was a guy who helped me to guide you to our appartment. really polite and kind. » elle fait mine de réfléchir. toi t'as les gros yeux. « you let a stranger bring us at home ? » tu la connais. elle est terriblement méfiante. rationnelle aussi. tout l'inverse de toi en fait. « he seemed having good intentions. so yes. and i was right. you are always in life. » elle te raille. toi tu finis par lever les yeux au ciel. « and believe me, you looooooved him. you touch his beard. you call it fluffy. » là tu tombes de haut. « i did what ... ? » caroline éclate de rire. t'as des souvenirs qui remontent à la surface. mais c'est loin d'être probant. voire pas du tout. t'as des flashs. mais rien de concret. rien qui pourrait réellement te guider dans cette histoire. « oh don't worry. he took it really kindly. he's probablement older than us. or he is really older in fact. » en plus. t'as honte. vraiment. « but he was cute. you seemed completely in love. » elle rit. elle a le ton de la rigolade. oh la la. s'il y avait un trou de souris, tu t'y serais jetée corps et âme. vraiment. c'était beaucoup trop embarrassant. dégradant aussi. « oh god. » tu mets tes mains sur ton visage. t'es dépitée. les ravages de l'alcool. de l'euphorie aussi. encore une soirée comme ça. enfin hier t'y a été fort. tu te souviens même plus de lui. thomas. son prénom te dit quelque chose. mais c'est comme si ton cerveau ne voulait pas se rappeler. pourtant t'as senti un truc. quoi t'en sais trop rien. mais un truc. sans doute un restant d'hier. qui sait ? de toute façon tu ne le croiseras surement jamais. enfin c'est ce que tu crois.
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