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 (we're running 'round like we don't care)

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Juliet Hamilton
Juliet Hamilton

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pseudo : BLINDNESS, manon
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MessageSujet: (we're running 'round like we don't care)   (we're running 'round like we don't care) EmptyLun 12 Juin - 11:35


baby i be movin' on and i think
it should be somethin' i don't wanna hold back

hamilton, juliet
|img@tumblr/quo@sheeran|

─ patronyme complet: juliet; pour la pièce de shakespeare, la muse du dramaturge. mais aussi pour la douceur et la poésie qui ressort du prénom. hamilton; comme la grande famille hamilton, celle qui est dans la politique depuis plusieurs générations. juliet a la chance de ne pas être de la lignée directe des plus célèbres, mais toujours y est-elle rattachée par son père. ─ âge, date et lieu de naissance: trente ans; la bougie a été soufflée au début de l'année, le dix janvier. elle a paniqué en voyant le trois remplacé le deux et a préféré passer sa soirée à boire avec sa meilleure amie jusqu'à oublier cette nouvelle étape plutôt qu'à se lamenter sur son sort. new york city; en plein coeur de manhattan et avec pas mois de cinq semaines d'avance, le bébé juliet a poussé son premier cri.  ─ métier, études et situation financière: assistante pour ziggy barlow; ce n'est pas tous les jours faciles, avec cette diva du petit écran et ça l'est d'autant moins que ziggy s'avère être l'ex-mari de sa meilleure amie. avant ça, juliet a exercé divers petit boulot, elle s'en sort bien, voire même, très bien, financièrement, mais c'est presque davantage grâce à l'héritage familial que par ses choix de carrière. ─ statut civil: célibataire; elle aime flâner et papillonner de bras en bras, la jolie juliet. c'est qu'elle a déjà été amoureuse et qu'elle a été déçue, ou blessée. elle ne cherche pas l'amour à tout prix, elle prend ce qui vient. ─ à new-york depuis: toujours; c'est là qu'elle est née, c'est là qu'elle mourra. parfois, juliet va même jusqu'à préciser que c'est là qu'elle a été conçue et que c'est là qu'elle finira enterrée. ─ caractère: fraîche, pleine de vie, parfois timide, sensible, émotive, pleine de tendresse, brusque ─ groupe: yankee; new york, sa ville, son refuge. elle en connaît chaque fois recoin et chaque boutique. ─ avatar choisi: elizabeth olsen


✯ ✯ ✯

01. juliet, elle est capable d'être aussi calme que l'eau d'une rivière, comme devenir agitée comme un ouragan. elle a cette capacité à être timide avec un visage inconnu et, le lendemain, avoir ce grain de folie caractéristique de sa personne avec l'inconnu de la veille. souvent, elle embarque les autres dans sa joie de vivre et sa bonne humeur. on a qu'une vie, qu'elle répète, il faut en profiter. alors elle profite, la petite juliet, elle vit et elle bat de ses ailes imaginaires. 02. elle est incapable de rester en place, que ce soit physiquement, comme au niveau du job ou du reste. elle a ce besoin de bouger, d'aller dans tous les sens, de tout découvrir. petite, elle voulait être explorateur et puis archéologue, comme indiana jones. finalement, elle enchaînera les jobs insignifiants comme fleuriste, vendeuse dans un magasin de vêtements, factrice, aussi. à l'étranger, elle a souvent été baby-sitter ou bien serveuse, ou encore assistante de prof d'anglais. une fois, elle a travaillé à l'accueil du musée d'histoire naturelle. bref, rien ne l'arrête, du moment qu'elle garde cette liberté. 03. indiana jones, c'est son grand héro. oh, elle apprécie aussi harrison ford dans bien d'autres rôles, mais en archéologue-aventurier, c'est, pour elle, le meilleur personnage toutes catégories confondues. tellement qu'elle s'est acheté son chapeau et un fouet similaire à celui de l'homme et qu'elle a adopté un chien, il y a peu, qu'elle a nommé indiana. après tout, c'était le nom du chien d'henry jones jr, à la base. elle a l'intégrale des films et dès qu'elle a un coup de blues, elle les regarde - parfois en appelant diana, sa meilleure amie, parfois en se gavant de crème glacée et, parfois, en faisant les deux. 04. dans l'intimité de sa chambre, juliet est danseuse professionnelle. si elle s'est essayé au rock acrobatique en prenant son lit mezzanine pour partenaire, le bras cassé récolté l'aura poussé à s'intéresser davantage au modern jazz. elle a d'ailleurs suivi des cours de danse, grâce à mr et mrs hamilton et elle était plutôt douée. toujours sur le devant de la scène, à se déhancher tout en créant parfois des morceaux de choré, au grand damn de son professeur. et puis, il y a eu cette blessure au genoux, ces trois mois sans pouvoir danser et la fin d'un rêve. juliet, elle se met à danser, mais en comité privé, maintenant. 05. elle a un faible pour les étrangers. les teints basanés et les accents la font craquer à peu près autant que les costards ou les uniformes. son tout premier crush, d'ailleurs, était d'origines indiennes et s'avère être l'un de ses plus proches amis. mais à l'époque, ils n'étaient que des enfants et il ne la considérait que comme une amie - ce qui, au fond, lui convenait. alors elle n'a jamais rien dévoilé de ce béguin d'enfance, persuadée qu'il finirait par passer. ce qui a été le cas. 06. grande gourmande, juliet a toujours des friandises dans son sac quand il ne s'agit pas d'un paquet de gâteaux. parfois, ce sont des journées entières qu'elle passe à se gaver de choses qui ne sont pas jugées comme bonnes pour la santé - un rappel permanent de sa mère. 07. son arrivée dans le monde du cinéma, c'est un hasard. elle était en allemagne et passait la journée dans une fête d'école à maquiller les enfants. c'est comme ça qu'elle a été remarquée par quelqu'un du milieu du cinéma ; encouragée par ses éloges, elle a commencé par devenir maquilleuse pour des films à petits budgets et des films étudiants. jusqu'à revenir à new york et postuler dans de plus grosses chaînes. 08. son dernier voyage en date s'est fait, en thaïlande. elle y était pour quatre mois, en touriste pure. mais pas seule, cette fois. sam l'avait accompagnée. toutefois, elle est rentrée précipitamment, un mois et demi plus tôt que prévu. pour diana.


× × ×

pseudo|prénom: ghost.writer, manon
âge|pays: (almost) 22, france
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personnage: pré-liens (diana, ziggy, nyle)
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Dernière édition par Juliet Hamilton le Sam 17 Juin - 21:42, édité 8 fois
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Juliet Hamilton
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MessageSujet: Re: (we're running 'round like we don't care)   (we're running 'round like we don't care) EmptyLun 12 Juin - 11:35

‘ welcome to new york ’
L’image se bloque un instant et le son devient haché. Juliet lève les yeux au ciel et pousse un soupir des plus profonds. La connexion est vraiment très mauvaise dans cet hôtel. Lorsqu’enfin, Diana n’est plus cette photo dont l’expression est une grotesque grimace, Juliet esquisse un sourire. « Désolée, c’est ma connexion qui veut pas ce soir. Ça m’apprendra à aller me terrer en Thaïlande… Donc, je disais, ça n’a pas l’air d’aller ? » Son amie hausse les épaules mais le sourire qui lui est offert ne la trompe pas. Quelque chose cloche. Elle insiste et Diana craque. Il y a des sanglots dans sa voix qui étreignent le cœur de la blondinette et elle regrette aussitôt de ne pas être à côté d’elle, sur son canapé, pour pouvoir l’enlacer. La distance se fait pesante face à l’image de sa meilleure amie, pourtant forte et solide en temps normal, brisée et émotive. A travers les bugs de connexion, Juliet parvient à comprendre que c’est Zenon, le problème – enfin, pas totalement, le problème, c’est Ziggy. La petite new yorkaise se mord la lèvre. Elle est trop éloignée de tout ça pour réellement saisir la nuance ; Zenon est Ziggy, elle ne comprend pas. Diana explique. La célébrité, le comportement qui change, l’éloignement qui s’installe avec ça. Ça lui brise le cœur, à Juliet. Voilà bien longtemps qu’elle a cessé de croire au prince charmant mais pour Diana, elle y a cru. Parce que c’est tout ce que Lady Di mérite. Un prince, un vrai. Et Zenon, il lui a toujours paru sympathique. Une boule vient se loger dans sa gorge et elle lève une main inutile pour caresser le visage inaccessible de son amie. « Oh, Diana… » Mais les mots restent coincés. Elle n’a rien à dire. Elle ne sait pas quoi dire. Elle diminue la fenêtre du Skype et se lance dans une recherche folle sur Google. Et là, elle trouve. Un avion à prix accessible – que diable, ça aurait coûter mille dollars qu’elle l’aurait acheté, ce billet – pour rentrer sur New York. La décision, elle n’a pas mis quarante secondes pour la prendre. « Ok, Di, tiens jusqu’à demain, ok ? Je prends le premier avion pour rentrer à la maison et je te promets que ça irait mieux, après ? » Parce que s’il le faut, la petite Juliet est prête à aller parler entre quatre yeux au grand Zenon. Et à lui faire comprendre qu’il risque de perdre la femme de sa vie à agir comme un idiot.

Elle quitte la chambre branlante pour rejoindre la vie active de la rue. Malgré l’heure tardive, les commerces sont toujours ouverts et certains tentent d’attirer des clients en ventant la bonne qualité de leurs victuailles. Juliet prend quelques secondes pour inspirer l’air teinté d’une odeur sucré qui n’est pas sans lui rappelé celle du canard laqué goûté au Cambodge, avant d’aller retrouver Sam. Elle pose tendrement une main sur son épaule et esquisse un petit sourire. Elle s’installe à ses côtés, le cœur serré. Il est adorable, Sam. Pour l’avoir suivi dans ce projet incongru à l’autre bout du monde. Pour ne pas avoir mentionné la conversation de la veille. Elle observe son profil, celui-là même qu’elle avait admiré la veille après quelques verres de cet alcool typiquement thaïlandais. Des yeux, elle redessine ses traits, ceux-là mêmes qu’elle avait caressé du bout des doigts avant qu’il ne tourne la tête vers elle. Avant qu’elle ne lâche sa bombe. Et là, ce soir, c’est un tout autre genre de bombe qu’elle va lancer. « Je rentre à New York. » Elle se mord la lèvre, tête basse. Elle se sent coupable, Juliet. De partir si précipitamment. Il leur reste pourtant encore un mois et demi, presque deux. Mais elle ne peut pas laisser Diana toute seule, pas en ces heures incertaines. « Diana a besoin de moi. » Elle n’en dit pas plus. Son regard dérive sur les doigts de Sam. Il n’est pas obligé de rentrer, s’il ne le souhaite pas – mais, au fond d’elle, Juliet espère qu’encore une fois, il la suivra. Parce qu’il y a ces mots échangés la veille qui résonne encore dans tout son être – mais surtout au plus profond de son cœur. I could kiss you. Ces mots prononcés d’un ton léger et doux, embrumés par un trop plein d’alcool. Qui, pourtant, avaient quitté ses lèvres avec la puissance d’un aveu jusqu’alors inconscient. Elle se souvient du regard échangé à cet instant-là avant qu’elle ne se trouble et ne s’échappe. C’est ce qu’elle fait de mieux, Juliet. S’échapper. Elle s’était glissé au milieu des autres convives et avait dansé le restant de la nuit avec un jeune du coin. Pour ne pas penser à Sam. Pour ne pas penser à cette brûlure dans son âme. Elle avait attendu que Sam retourne dans sa chambre pour se retirer à son tour. Ils allaient devoir parler. Mais pas tout de suite. Parce qu’elle s’enfuit de nouveau, Juliet.

Sa tête repose contre l’appui-tête de l’avion. Ses émotions, contradictoires, ravivent des souvenirs. Agréables et douloureux. Positifs et larmoyants. Elle a la tête qui bourdonne, Juliet. Et le cœur au bord des lèvres. La première fois qu’elle a fuit – il y a une dizaine d’années. Partir pour l’université, c’est banal. La plus grande joie de sa vie mais sa plus grande déchirure aussi. Ça signifiait laisser Nyle derrière, s’éloigner de Diana, ne serait-ce qu’un temps. L’amitié a survécu, pas l’amour. Parce que, parfois, aimer ne suffit pas. Ça ne leur a pas suffi, à Nyle et elle. La distance, la pression. Et ce besoin de partir, loin. Plus loin encore. La rupture a été mortelle. Juliet ferme les yeux, refuse d’y penser. Elle ne sait même pas pourquoi Nyle se rappelle à elle maintenant, alors qu’elle a passé toutes ces années à l’ignorer. Un morceau du passé, une pièce d’un tableau brisé. Depuis sa première fuite, elle n’a plus pensé à lui. Pourquoi maintenant ? Elle se souvient avoir lu dans un article que lorsqu’un ex retrouve quelqu’un, il y a un instinct qui se met à penser à lui et pousse à essayer de le recontacter. Est-ce vrai ? Juliet préfère ne pas le savoir. Trop rationnelle, elle se répète que c’est parce que New York a été leur berceau. Le témoin de leurs amours et de leurs étreintes. Mais New York, c’est grand. Quelles sont les chances pour qu’il y soit toujours, de toute façon ? Un soupir lui échappe et elle tire son téléphone, envoie un texto à Diana. Arrive bientôt, je t’attends à l’aéroport et on ira picoler comme tu ne l’as sûrement pas fait depuis longtemps. Pour la détendre, la jolie Diana. Lui faire oublier le caractère de cochon de son mari, au moins le temps d’une soirée entre filles. Et tant pis si, pour une fois, c’est Diana qui rentre ivre morte. Au moins, elle en aura profiter. Juliet jette un œil à l’heure. Elle en a encore pour une heure de vol. Et le décalage horaire va piquer. Alors elle se blottie contre le hublot et ferme les yeux. Déjà, un fin sourire a retrouvé sa place sur ses lèvres.

Il est là, avec son regard de bébé et elle ne cache pas son large sourire. Jamais, ce mec n’aura un regard d’adulte, elle en est certaine. Elle reste quelques instants sur le palier du bar, bloquant les entrées et les sorties, pour observer son vieil ami et sa bière. Et puis, alors qu’il y a un énième soupir qui est poussé dans son dos, elle se précipite à travers le bar, attrape Neelam par le cou et dépose un baiser sur sa joue. « Avoue que je t’ai manqué ! » Clin d’œil complice, comme leur relation, et elle s’installe finalement à côté de lui. Une bière l’attend déjà et c’est à travers un sourire qu’elle le remercie. Neelam, il la connaît par cœur. Parfois, elle se dit que c’est vertigineux – parce qu’il n’est pas le seul. Diana et Sam aussi, la connaissent par cœur. Et ça, c’est carrément flippant. Il y a des banalités échangées avant le couperet. « Sam va pas tarder à nous rejoindre. » Sam. Un poids s’effondre dans son estomac. Le Sam qu’elle a laissé en Thaïlande et à qui elle a, à peine, envoyer trois messages. Elle craint. Ça craint. Elle se pare pourtant d’un sourire et lève sa bière. « Au trio de retour ! » Les bouteilles s’entrechoquent lorsque le troisième de la bande apparaît. A eux trois, ils sont le Golden Trio. Le roux en moins, mais un hindou en plus. Des bises, des banalités encore. Ça fait longtemps, qu’il lui semble, qu’ils ne sont pas retrouvés comme ça. Tous les trois. Elle va être sage, sur la boisson. Elle se le promets. Parce qu’elle ne tient pas à être en position d’embarras, pas dès le premier soir. Et, alors qu’un blanc menace de s’installer, elle balance, sans sommation. « Je bosse pour Ziggy Barlow. » Le grand de la chaîne télé. Le grand du talk show. Celui qui rend Jimmy Fallon et Ellen DeGeneres jaloux. Celui qui est marié à Diana et qu’elle dépanne. Celui qui est trop exigeant mais qu’elle se retient de frapper, par amitié pour Lady Di. Mais le bouchon, il le pousse parfois trop. Car c’est Juliet qu’il appelle, quand il a trop bu et qu’il ne peut pas conduire. Car c’est Juliet qui est réveillée quand lui vient l’envie subite de milkshake citronné. Car c’est Juliet qui doit faire les courses publicitaires de monsieur. Et s’il n’y avait pas Diana, elle lui en aurait mis une, la petite Juliet. Mais ça, elle ne le dit pas. Ni à Neelam, ni à Sam. A eux, elle leur raconte juste qu’elle est payée pour le suivre, tout agencer. Que c’est un boulot temporaire, encore un. Le temps que tout se tasse bien qu’elle se doute que rien ne se tassera.


Dernière édition par Juliet Hamilton le Dim 18 Juin - 22:38, édité 6 fois
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MessageSujet: Re: (we're running 'round like we don't care)   (we're running 'round like we don't care) EmptyLun 12 Juin - 12:07

oh ben reeeeeeeeeeeeee <3
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MessageSujet: Re: (we're running 'round like we don't care)   (we're running 'round like we don't care) EmptyLun 12 Juin - 12:23

CETTE BEAUTÉ (we're running 'round like we don't care) 718056343 (we're running 'round like we don't care) 718056343 (we're running 'round like we don't care) 718056343
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Nyle Winston
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MessageSujet: Re: (we're running 'round like we don't care)   (we're running 'round like we don't care) EmptyLun 12 Juin - 12:38

Rebienvenue et merci de tenter mon pré-lien I love you
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Lew Tesfaye
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MessageSujet: Re: (we're running 'round like we don't care)   (we're running 'round like we don't care) EmptyLun 12 Juin - 16:54

t'es belle, je t'aime, même si le nee en moi est frustré Arrow (we're running 'round like we don't care) 871311786 (we're running 'round like we don't care) 755006495
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MessageSujet: Re: (we're running 'round like we don't care)   (we're running 'round like we don't care) EmptyLun 12 Juin - 20:40

(re) bienvenuuuuue :D
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Aubrey Cavender
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MessageSujet: Re: (we're running 'round like we don't care)   (we're running 'round like we don't care) EmptyMar 13 Juin - 0:40

Rebienvenue. I love you
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Maebh Gaffney
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MessageSujet: Re: (we're running 'round like we don't care)   (we're running 'round like we don't care) EmptyMar 13 Juin - 9:23

trop de beauté (we're running 'round like we don't care) 283229733 (we're running 'round like we don't care) 2143528529 :sexx:
hâte de rp avec ziggy (puis les autres, on pourra forcément trouver un lien (we're running 'round like we don't care) 3082875778 )
rebienvenue (we're running 'round like we don't care) 1057340632
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MessageSujet: Re: (we're running 'round like we don't care)   (we're running 'round like we don't care) EmptyMer 14 Juin - 15:54

thanks you all I love you

lady di, TAHVU CE DUO DE BELLESGOSSES ASY (we're running 'round like we don't care) 283229733 (we're running 'round like we don't care) 283229733 quand elles iront dans un bar cracher sur ziggy le sieur, elles vont faire tourner des têtes, j'te le promets Arrow

nyle, oh bah je t'en prie I love you

lew, moh (we're running 'round like we don't care) 1343602311 (we're running 'round like we don't care) 1343602311 love you too (we're running 'round like we don't care) 1343602311 (vite, vite que nee arrive Arrow )

maebh, MOI AUSSI (we're running 'round like we don't care) 3368143059 (we're running 'round like we don't care) 3368143059 fais gaffe, la p'tiote va lui en faire voir de toutes les couleurs, elle aussi Arrow Arrow (et oui oui oui oui, je veux, j'exige (we're running 'round like we don't care) 283229733 )
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MessageSujet: Re: (we're running 'round like we don't care)   (we're running 'round like we don't care) EmptyDim 18 Juin - 22:42

Pour moi c'est parfait, dès que tu as l'accord de tes liens je te valide I love you
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Jeremy Collins
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MessageSujet: Re: (we're running 'round like we don't care)   (we're running 'round like we don't care) EmptyDim 18 Juin - 22:48

j'aime vraiment trop juliet (we're running 'round like we don't care) 3061032090 (we're running 'round like we don't care) 3009607356
pour moi c'est tout bon aussi I love you
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MessageSujet: Re: (we're running 'round like we don't care)   (we're running 'round like we don't care) EmptyLun 19 Juin - 9:07

ayaya, deux sur trois, la pression redescend (we're running 'round like we don't care) 2575680371
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MessageSujet: Re: (we're running 'round like we don't care)   (we're running 'round like we don't care) EmptyLun 19 Juin - 11:27

Validez-moi ce chaton (we're running 'round like we don't care) 3368143059 (we're running 'round like we don't care) 3368143059
T'es parfaite, j'ai tellement hâte de jouer tout ça (we're running 'round like we don't care) 283229733 (we're running 'round like we don't care) 2143528529 (we're running 'round like we don't care) 2143528529
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MessageSujet: Re: (we're running 'round like we don't care)   (we're running 'round like we don't care) EmptyLun 19 Juin - 12:15

Je te valide I love you
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