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 nowhere to go, no place to call home (w/joey)

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MessageSujet: nowhere to go, no place to call home (w/joey)   nowhere to go, no place to call home (w/joey) EmptyJeu 16 Juin - 0:53


₪ ₪ ₪
lights will guide you home
and ignite your bones
i will try to fix you

Un fil de temps passant, naviguant la rivière de l'inconnu qui se situait devant chaque pas qui était fait. Le futur autrefois si prévisible, construit d'une façon certaine n'était maintenant qu'une simple illusion. Une illusion qui n'avait rien de confortant. La journée routinière d'autrefois était maintenant remplacer par une nouvelle routine si déconfortante. Une décision qu'elle regrettait pour différentes raisons, mais aucune qui explicait réellement le besoin de retourner en arrière. Une ligne du temps qui avait été fracasser et complètement changer. Un recul dans le temps, un retour à ce qu'elle n'avait plus aucun souvenir de. Le pas changeant, le vent tranquillement guidant chacun d'entre eux dans le doux de la journée, laissant le froid de la soirée de New York frapper la douce peau de la demoiselle qui essayait de retarder son innévitable soirée dans un loft qui n'avait rien de bien acceuillant. Même les rues remplis de New York ne réussissait pas à la sortir de ce sentiment d'être perdu dans le temps. Elle qui avait cru que partir, de s'enfuir et de courir dans la direction opposé de celui avec qui elle avait partager sa vie depuis ce qui semblait être toujours. Pourtant elle qui croyait que le sentiment d'être emprisonner dans cette relation qui semblait tourner autour d'un plus que de l'autre n'était aucunement partie quand le tout c'était écrouler autour d'elle comme un château de carte. Au contraire, celui-ci avait été simplement remplacer par un autre sentiment, un sentiment bien pire qui lui faisait encore plus mal à présent. Sa main se laissant promener contre les clôtures en métal des différentes résidences de l'Upper East Side, les lumières de la rue créant des ombres sur le sol, le pas lent qui la dirigeait tranquillement sur son chemin, ne réalisant jamais qu'elle ne se dirigeait pas au bon endroit. Elle qui était si habituer depuis si longtemps de laisser ses pas la diriger vers cet endroit qu'elle appellait maison, n'était maintenant plus qu'un simple souvenir vinaigré qu'elle aurait bien voulu oublier comme tant d'autre. Tant de souvenir qui aurait dût être heureux et qui aujourd'hui elle avait complètement ruiner en l'espace d'une seconde. Elle refusait de se laisser imaginer autre chose, refusant de jouer le jeu de celle qui imaginait ce qui n'allait jamais arriver puisqu'après tout elle était celle qui avait prit la décision de tout briser. Ses pas s'arrêtant devant la grande escalier de fer, ses yeux se levant tranquillement vers ce qui avait été autrefois l'appartement qu'elle aimait tant. Ses yeux naviguant chaque petit détail, sachant très bien qu'après aujourd'hui, elle allait simplement refuser d'y remettre les pieds, elle devait tourner la page une fois pour tout.
Le temps passait, elle figée sur place, les gens bougeant autour d'elle, se demandant surement ce qu'elle faisait, ses yeux encore fixée sur la porte qu'elle avait franchi tant de fois depuis son arriver à New York. Une main passant dans sa longue chevelure noire, ses yeux battant rapidement essayant de retenir les larmes qui voulaient tomber. Elle refusait, refusait simplement. Elle avait prit sa décision et elle allait vivre avec peut importe les conséquences. Soupirant, regardant une dernière fois la porte en métal avant de continuer son chemin, prête à naviguer les rues de l'Upper East Side sans grande inspiration à la place de simplement rentrer chez elle. Puis, ne regardant pas devant elle, le regard fixé dans le vide profond qui se retrouvait loin devant elle, son corps frappa celui d'une autre personne. La sortant de cette rêverie qui l'habitait depuis sa course en robe blanche, sa voix douce sortie un début d'excuse alors que ses yeux se levaient en même temps vers la figure qu'elle avait frapper avec son innatention. « Sor.... » Ses yeux se plongèrent dans ceux qui se retrouvaient devant elle. Ses excuses se prenant au fond de sa gorge aussi rapidement qu'il était arriver. Elle qui ne croyait plus le revoir, voilà qu'il se retrouvait devant elle. Lui et son visage parfait. Lui et ses yeux qui l'avait toujours hypnotiser. Lui qu'elle avait humilier devant tout le monde. Lui qu'elle avait quitter sans explication. Elle aurait voulu courrir, s'enfuir à nouveau comme elle savait si bien le faire, mais elle savait qu'elle n'allait pas pouvoir. Le faire une fois lui avait prit toute son énergie, elle doutait qu'elle en avait assez pour le faire à nouveau. « Joey... » Son nom sortie de sa bouche sans qu'elle ne puisse s'en empêcher. Incapable de se contrôler, sa tête lui criant de partir, son coeur battant si rapidement que celui-ci allait sortir de son corps. Elle qui avait toujours été certaine de tout dans sa vie, voilà que maintenant, devant lui, elle n'était plus certaine de rien.
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MessageSujet: Re: nowhere to go, no place to call home (w/joey)   nowhere to go, no place to call home (w/joey) EmptyLun 27 Juin - 19:46

Voilà deux semaines qu'Elea l'avait quitté devant l'autel, renonçant à toutes ses années passées ensemble, à leur histoire et à cet amour qu'il avait cru – à tort, plus fort que tout. Il se repassa la scène en boucle. Il se rappelait parfaitement de cette cruelle sensation, des battements douloureux de son cœur lorsqu'il comprit qu'elle ne reviendrait pas. Jamais. Il l'avait perdu. Mais cela ne datait pas du mariage. Joey avait tout gâché et tout lui était revenu en plein visage, comme un vilain retour de flammes. Il avait négligé sa fiancée, lui préférant le basket et sa carrière. Et s'il lui en voulait terriblement, il s'en voulait aussi, de n'avoir pas été à la hauteur de cette femme superbe, au grand cœur et à la beauté époustouflante. Mais à présent, il s'efforçait à la diaboliser car cela était plus facile à gérer. En effet, l'abandon était plus gérable s'il se répétait que c'était en partie sa faute et qu'elle lui avait brisé le cœur, sans même se retourner. C'était elle, la fautive, la meurtrière. Elle lui avait promis sa main pour mieux le poignarder dans le dos. Et il n'avait pas arrêté de saigner depuis. Allongé sur son lit à ressasser le passé, Joey jouait avec l'un de ses ballons, le faisant rebondir en l'air à plusieurs reprises. Réfléchir lui était devenu douloureux, comme si son cerveau s'émiettait ou prenait feu. Cela lui donnait des migraines horribles, si bien qu'il en était devenu détestable avec tout et tout le monde, même avec les personnes qui ne cherchaient qu'à l'aider. Même son jeu en avait pris un vilain coup, tant est si bien que son entraineur l'avait menacé de le placer sur la touche. Un affront terrible pour ce perfectionniste qui avait passé la plupart de sa vie à tout donner pour en arriver là. Il soupira lourdement, balançant le ballon contre le mur avec férocité. Il hurla. Un cri qui venait du cœur, comme pour cracher sa haine au loin. Il n'en pouvait plus de se sentir si fatigué et énervé. Mais par dessus tout, il n'en pouvait plus de crever à petit feu, sans la moindre explication. Il se leva soudainement et fit les cent pas dans sa chambre. Il lui manquait pas mal de ses affaires qui étaient restées dans son anciennement appartement situé dans l'upper east side. Il ne pouvait pas les laisser, pas vrai ? Il mesura les pour ainsi que les contres. Même si sa raison lui hurlait de ne pas y retourner au risque de la voir, son cœur le poussait à s'y rendre et ce pour la même raison. Secrètement, il mourrait d'envie de lui faire face. De voir si pour elle aussi, la situation était compliquée et douloureuse ou si, au contraire, elle se portait bien, sans lui.
- Man, I need my stuff.
Dit-il à voix haute comme pour se convaincre que cela était sa véritable raison. Il s'habilla en vitesse, enfila une casquette et des grosses lunettes de soleil pour ne pas se faire reconnaître dans la rue, puis il monta dans le premier taxi qui s'arrêta devant lui.
- Can you let me here please ?
A quelques blocs seulement de son ancienne rue, Joey se défila. Peut-être que marcher un peu allait lui permettre de s'aérer un peu les idées et de trouver le courage de retourner sur les lieux du crime. Mais il ignorait s'il avait la force de revoir ce loft avec tout leurs souvenirs. De revoir ces photos des temps où ils avaient été heureux. Il marcha alors, bien qu'en trainant des pieds. Il avait une boule au ventre gigantesque à l'idée de la revoir, bien loin de l'image du basketteur sûr de lui à l'égo surdimensionné. Face à Elea, il n'était ni plus ni moins que Joey. Enfin, c'est ce qu'il avait toujours pensé. Un peu perdu dans ses pensées, il ne vit pas cette jeune femme lui foncer dessus. Il sortit de sa rêverie, mais son cœur se serra violemment à l'écoute de cette voix qu'il aurait pu reconnaître entre mille. Il avait envie de mourir, de se faire frapper par la foudre ou renverser par une voiture. Il n'était pas prêt, ni préparer. Mais il n'avait pas d'autre choix.
- Elea.
Répondit-il sèchement, la mine décomposée.
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