please stay (scully) /hot/

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La belle brune s'installa devant le vasque, n'ayant même pas pris la peine de fermer la porte de la salle de bain; elle se passa un peu d'eau sur le visage pour se ressaisir, puis elle demeura les prunelles rivés dans le miroir jusqu'à ce qu'elle le voit justement dans cette fameuse glace. Sans attendre, il empoigna la pognée de son fauteuil et la fit pivoté pour qu'elle se retrouve face à lui, alors qu'il se pencha pour capturer ses lèvres, avec une certaine ardeur. Aussitôt, le corps de la demoiselle se tordit et elle sentit toutes ses sensations être en plein éveil. La demoiselle pouvait sentir qu'il cherchait sa langue pour effectuer un fameux duel; la belle brune ne pu s'empêcher de laisser échapper un son de surprise et également de plaisir, elle pouvait sentir l'une de ses mains se perdre dans sa longue chevelure alors qu'il lui souffla ces paroles sur un ton suppliant; — Autorise-nous une dernière étreinte. Le coeur de Deirdre augmenta de cadence, puis elle articula pour répondre à ces dires; « Oublions le reste, l'espace d'un moment je veux qu'il n'est que toi et moi.» Une requête, quelque chose dont elle avait besoin pour se sentir vivante; pour le sentir une dernière fois près d'elle, avec elle, en elle. Étrangement, une nervosité l'envahit peut-être étant donné les circonstances elle sentait quelque chose d'encore plus intense entre eux. Ses yeux brillants fébrile, Deirdre vint reprendre possession de ces lèvres avec une intensité et un besoin insatiable, pendant que ses doigts fins jouaient avec le tissu noir de son t-shirt. La belle brune bouillait déjà de désir, sachant que le décompte était commencé et que c'était la dernière fois, elle voulait le vivre pleinement et graver cela à jamais dans sa tête.

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Deirdre lui accorda cette dernière faveur avant de l’embrasser de nouveau, ses doigts s’accrochant au tee-shirt noir que portait Scully qui décida très rapidement de s’en débarrasser, préférant sentir les doigts de la jeune femme sur sa peau. Il avait envie d’elle, plus que cela : il en avait besoin. Délicatement, il prit Deirdre dans ses bras en manipulant soigneusement ses jambes inertes pour la porter dans le lit aux draps faits dans lesquels il avait dormi une sieste, quelques heures plus tôt. Soigneusement, Scully déposa Deirdre sur le lit et vint s’étendre auprès d’elle, sur le flanc. Il reprit le cours de leur baiser tout en glissant une main sur son ventre, sous son haut. Du bout des doigts, il s’amusa à tracer des formes imaginaires autour de son nombril. Puis, il glissa sa main sous la baleine de son soutien-gorge pour caresser sa poitrine, toujours très délicatement. Elle avait la peau douce et à mesure qu’il la touchait, il frissonnait et son désir, lui, s’amplifiait. Scully vint embrasser la joue de la jeune femme puis, du bout du nez, repoussa des mèches de cheveux pour pouvoir lui chuchoter quelques mots à l’oreille. — Je veux que cela soit parfait, souffla-t-il. Lors de leur première fois, il avait été attentif à ses désirs mais il savait qu’il y avait des lacunes. C’est pourquoi, il était à son écoute et désirait le lui signifier implicitement par ses quelques mots. — J’aimerai que cet instant ne s’arrête jamais, dit-il en reprenant ses douces caresses.

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Scully ne se fit pas prier et retirer son t-shirt alors que les doigts fins de Deirdre parcoururent sa peau. Doucement, il vint à la prendre dans ses bras délicatement alors que la demoiselle s'accrocha à son cou et qu'ils se dirigèrent vers la chambre. Puis, il la déposa sur le matelas pour venir à ses côtés et reprendre ses baisers, elle pouvait sentir ses doigts qui partaient à la découverte de son corps une seconde fois, mais la belle avait l'impression que c'était la première. — Je veux que cela soit parfait, il semblait dessiner des formes imaginaires sur son corps et ça la faisait frissonner; son souffle devenait légèrement saccadé alors que ses yeux se fermèrent pendant qu'elle sentait ses lèvres contre sa joue. — J’aimerai que cet instant ne s’arrête jamais, « Je l'aimerais aussi...» Qu'elle articule, avec une empreinte de tristesse dans la voix, malgré tout, alors qu'elle croise son regard; puis comprenant qu'il avait besoin d'un peu de directives à cause de sa condition la demoiselle lui murmure; « Le haut de mon corps t'appartiens, tu en fais ce que tu veux...» La demoiselle voulait y faire comprendre par ses paroles que le haut de son corps était la zone sensible pour elle, où elle pouvait y ressentir des sensations et avoir du plaisir. « Je ne veux pas que tu t'inquiètes d'accord, si jamais il y a quoi que ce soit; je te le dirai. J'ai pas envie qu'on s'arrête à ça, j'ai envie d'oublier ma condition, juste l'espace d'un moment.» La demoiselle avait quand même fait de la physiothérapie et malgré le fait que ses jambes étaient inertes à cause de sa paralysie, elle avait quand même réussis à acquérir de la force avec le haut de son corps. Doucement, la demoiselle se donna un petit élan dans le but qu'ils roulent un peu dans le lit et qu'elle se retrouve au dessus de lui. Elle eut une lueur malicieuse dans le regard et elle prit soin de placer ses jambes pour se sentir à l'aise, et elle rapporta son attention sur le beau blond qui sembla surpris de la tournure de l'événement. Elle se pencha pour venir lui murmurer à l'oreille; « Laisse-toi aller, il n'y a que toi et moi; le reste n'existe plus.» Ses lèvres tièdes se glissèrent dans son cou, sa mâchoire où elle y déposa des baisers fiévreux. Puis, elle descendit doucement traçant un chemin de baisers sur son torse.

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Attentivement, Scully écouta les indications de la jeune femme qui l’informait qu’il fallait qu’il s’occupe du haut de son corps, ce qu’il faisait, sa main toujours pressée contre sa poitrine. Il hocha bêtement de la tête. Il n’était pas habitué à "travailler" avec le haut du corps d’une femme, lui et cela le décontenançait légèrement. Deirdre lui expliqua qu’elle voulait oublier son handicap et que Scully ne devait pas s’arrêter à cela pourtant, cela restait dans un coin de son esprit, en permanence. Il poussa un cri de surprise alors que Deirdre inversait leur rôle, leur position. Elle venait de le mettre sur le matelas, de coucher quatre-vingt kilogrammes à la force des bras. Il l’observa s’installer, ébahi par tant de débrouillardise mais également très excité, indéniablement, qu’elle prenne le dessus. Il se redressa légèrement pour l’embrasser. — Je suis tout à toi, lui indiqua Scully alors qu’elle venait descendre des baisers sur son ventre. Il ferma les yeux, se laissant faire, savourant le contact des lèvres, des dents et de la langue de Deirdre partout sur son corps. Scully gémit sans aucune gêne ni timidité lorsqu’elle vint à caresser un endroit plus intime et sensible de son anatomie. Il glissa ses doigts dans les cheveux de Deirdre. Il gesticulait, gémissait, soupirait. Scully était au paradis. — Deirdre, articula-t-il difficilement, haletant.

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Pour la première fois, la belle brune tentait de prendre le contrôle de la situation faisant également attention pour ne pas aller au delà de ses capacités. — Je suis tout à toi, Qu'il articula contre ses lèvres, alors qu'un gémissement franchit les lèvres de la belle brune, qui s'attaqua à sa peau venant la découvrir à l'aide de ses lèvres, de ses dents, de sa langue. Tranquillement, elle descendit un peu plus vers la zone sensible et elle sentit son corps se tordre alors qu'il articula avec difficulté; — Deirdre, Elle pouvait sentir ces mains dans sa tignasse, puis doucement elle cessa ses baisers à contre-coeur pour se redresser demeurant au dessus de lui; se passant une main dans les cheveux pour les retirer de son visage et doucement elle vint à détacher son soutien-gorge lui dévoilant sa poitrine, la demoiselle envoya valser son fameux soutien-gorge dans la pièce soutenant son regard un instant comme si elle désirait capturer cet instant à jamais dans son esprit; puis, doucement elle s'empara d'une de ses mains qu'elle vint déposer sur l'un de ses seins pour l'inviter à la toucher; déglutissant bruyamment elle vint à son tour à gémir et soupirer son corps se cambrant légèrement sous ses gestes.

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Scully savourait le contact de la langue de Deirdre avec sa peau, conscient qu’il s’agissait de la dernière fois qu’ils s’offraient un tel plaisir. Il avait les yeux fermés et se concentrait le plus possible sur ce qu’il ressentait, sur ses émotions et pas ses pensées négatives qu’il pouvait avoir, relatives à leur situation. Deidre se redressa et le guida. Scully semblait être comme un adolescent vierge n’ayant jamais eu de rapports sexuels. Il semblait incapable de prendre les devants si bien qu’il laissait la jeune femme prendre les rênes et ce n’était pas déplaisant du tout, bien au contraire. Il se mit à choyer la poitrine de Deidre tout en savourant de l’entendre gémir. Sa propre excitation ne cessait de croître et il peinait, plus le temps passait, à se retenir de ne pas la posséder au plus vite. Scully avait conscience qu’il fallait choyer le haut du corps de la jeune femme. Se redressant, il vint prendre l’un de ses tétons en bouche pour tirer dessus, le lécher mais également le mordiller, tout doucement, conscient qu’il s’agissait d’une zone très sensible. Finalement, après plusieurs minutes et n’y tenant plus, Scully inversa leur position, de nouveau mais avec mille précautions. Il vint poser sa main sur la hanche de la jeune femme tout en percutant un point essentiel ; il n’avait prit aucune contraception. Intérieurement, le blond jura et se maudit mais au fond, comment pouvait-il se douter qu’ils allaient coucher ensemble au vue de leur situation ? — Tu es sous contraceptif ?, finit-il par demander, pas nécessairement à l’aide avec ce sujet qu’il trouvait tue l’amour à souhait.

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Pour une rare fois, Deirdre prenait le contrôle de la situation lors d'une relation sexuelle, elle avait l'impression qu'avec Scully, elle pouvait se le permettre c'était tellement différent de ses autres expériences une catégorie à part littéralement. Le coeur de la belle battait la chamade dans sa poitrine, elle ne pouvait pas s'empêcher de gémir et frémir contre sa peau alors qu'il choyait sa poitrine, son corps se cambrait légèrement alors qu'elle fermait les yeux se concentra sur le moment présent. Déjà, elle pouvait pressentir que le beau blond n'y tenait plus et qu'il devait inversé les rôles. Tranquillement, il la bascula pour se retrouver au dessus d'elle, alors qu'il sentait sa main contre sa hanche. Puis, il lui posa une question qui la surpris sur le coup, mais en même temps qui aurait pu présager qu'ils coucheraient ensemble avec la situation complexe dans laquelle, ils étaient projetés. — Tu es sous contraceptif ?, Deirdre vint poser l'une de ses mains contre la joue de son amant, ses prunelles s'ancrèrent dans les siennes puis elle acquiesça doucement en disant tout bas ayant peur de briser la magie; « Oui bien sûr.»

C'était vrai, la demoiselle prenait toujours la pilule malgré le fait qu'elle n'avait pas eu de relations sexuelles récentes, elle continuait de l'utiliser pour que son cycle demeure régulier. Les yeux de la belle demoiselle descendirent vers les lèvres chaudes du jeune homme, lèvres qu'elle avait envie de reprendre possession. Malgré le fait qu'elle ne puisse pas sentir les sensations dans le bas situés au bas de son corps, le désir et l'envie qu'elle ressentait envers Scully étaient exponentielles. « Embrasse-moi.» Qu'elle demande dans un souffle, ne désirant qu'une chose profiter de cette proximité de ce moment intime et unique qu'il partageait tout les deux. Les yeux de la belle ne pouvaient pas s'empêcher de s'embrumer, elle ressentait un mélange d'émotions qu'elle n'arrivait pas entièrement à décrire. Deirdre avait envie de le sentir en elle, une simple et unique dernière fois sachant qu'après cette nuit, ils seraient séparés pour un temps indéterminé, chose qu'elle n'osait pas songer puisque cela lui faisait mal, la figeait complètement. Bientôt, il vint reprendre ces lèvres d'assaut et la demoiselle prolongeait cette échange avec intensité, comme si c'était la dernière fois alors, qu'au final c'était bel et bien la dernière fois. Alors qu'elle laissait sortir des petits gémissements, ceux-ci se mêlèrent à des sanglots et des larmes vinrent lui brûler les joues sans qu'elle puisse les contrôler nécessairement. La belle demoiselle ne voulait aucunement brisé ce moment intense, mais son coeur bien qu'il était heureux, souffrait aussi dans la pénombre de cette chambre. Deirdre colla son corps à celui du beau blond comme elle le pouvait alors que bientôt elle vint cacher son visage dans le creux de son cou s'agrippant à lui. Bientôt elle sentit le haut de son corps qui se mis à valser langoureusement signe qu'il était entrer en elle et qu'il donnait des coups de reins. Elle pouvait sentir le souffle court de Scully se mélanger au sien. Étrangement, elle n'osait pas le regarder sachant qu'elle risquait d'éclater en sanglots. Des larmes continuaient de rouler sur ses joues, elle tenta évidemment de reprendre un contrôle sur elle-même.

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Scully fut rassuré lorsque la jeune femme le rassura sur le fait qu’elle prenait un contraceptif régulier parce qu’il n’aurait pas pu s’arrêter sans une frustration qui l’aurait rongé jusqu’à la moelle. Deirdre lui ordonna de l’embrasser si bien qu’il délaissa ses seins pour venir l’embrasser langoureusement, comme rarement il n’avait embrassé quelqu’un. Il l’entendit gémir mais il ne sentit pas ses sanglots, ses larmes, ou autrement, il se serait arrêté bien avant. Finalement, Scully s’initia délicatement en elle, la pénétrant doucement. Bien qu’elle ne sentait rien et que c’était strictement pour lui, pour ses besoins et son plaisir, il faisait attention. Parce qu’il tenait à elle, il ne voulait pas la briser encore plus, implicitement. Calé contre elle, Scully se laissa emporter par le plaisir, ne pouvant se retenir davantage et c’est lorsqu’il releva les yeux qu’il constata qu’elle pleurait. Brutalement, le blond se redressa, alerte, inquiet. Trop à l’ouest, trop perché dans les sphères du plaisir, il avait provisoirement oublié la tristesse du moment, du fait qu’ils étaient en train de se séparer, de se dire adieu. — Je t’ai fais mal ?, demanda-t-il, soucieux, les sourcils plissés. — Merde, excuse-moi, vraiment !, se précipita-t-il d’ajouter en l’embrassant furtivement mais très tendrement pour autant. Scully essuya les larmes coulant sur ses joues du bout des doigts. Restant collé à elle, Scully passa une jambe par dessus les siennes, s’appuyant sur son coude pour pouvoir la regarder attentivement. — Parle-moi, ma belle, s’il te plaît ...

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La demoiselle était complètement submerger par une multitude d'émotions, émotions contradictoires, émotions intenses où elle se sentait en vie, mais également mourir à petit feu. La fin approchait, la fin approchait et elle la sentait arriver se moquant d'eux, riant en pleine gueule. Deirdre n'avait aucune envie de revenir à cette réalité troublante qui les attendait et devoir encore une fois tomber de haut. Elle avait déjà subi assez de descentes, de chutes brutales au courant de sa vie qu'elle se demandait dans son fort intérieur si elle allait pouvoir supporter celle-ci. Je t’ai fais mal ? Elle s'empresse de secouer la tête de gauche à droite pour lui signaler que ce n'est pas ça, qu'elle n'a pas mal physiquement; par contre son petit coeur lui c'est autre chose. — Merde, excuse-moi, vraiment ! La jeune femme se pinça les lèvres alors qu'elle le voyait se fondre en excuses et être hyper soucieux pour elle, cela la touchait. Depuis qu'elle le connaissait, Scully avait toujours été comme ça envers elle et non pas uniquement à cause de sa condition physique ou les remords qui pouvaient l'envahir c'était naturelle, ça allait de soi. — Parle-moi, ma belle, s’il te plaît ... Ses yeux ancrés dans les siens, Deirdre se sentait honteuse d'agir de la sorte; elle aurait pu ravaler ses émotions et juste profiter de ce moment unique, mais la demoiselle était toujours en connexion directe avec ses émotions, elle ne pouvait pas faire autrement. « C'est moi qui m'excuse...» Qu'elle souffla d'abord baissant légèrement les yeux, elle prit une inspiration pour avoir le courage de capturer à nouveau le regard de Scully, du beau blond; son beau blond. « Ça peut pas être plus parfait et je viens tout gâcher avec mes émotions...» À nouveau, la demoiselle se pinça les lèvres, son regard s'embruma de nouveau; une certaine fébrilité l'envahie puis dans un haussement d'épaules la demoiselle vint à dévoiler; « Ça me tue de penser que dans quelques heures, tout ça; ça n'existera plus..» Le terme "tuer" n'était peut-être pas le mieux approprié; mais voilà comment elle avait osée s'exprimer. Doucement, les doigts fins de la jeune femme vient caresser la peau de son amant; amant d'une simple et unique dernière nuit. Ses sourcils se froncent, puis elle reprend la parole; « C'est insensé... Mais... Je n'ai pas envie de renoncer à toi, à nous...» Nous, ce mot qui peut; peut-être faire peur, elle ne sait même pas ce qu'ils sont sincèrement. Cependant, Deirdre refuse de mettre une croix complètement, malgré cette forte tempête qui s'abat sur eux, malgré tout ça, Deirdre a envie de s'accrocher; s'accrocher à qui la fait vibrer. S'accrocher à l'amour? Réalisant les paroles qu'elle vient de prononcer, elle a soudainement cette crainte qu'il se braque, alors elle s'empresse de reprendre la parole; « Excuse-moi, je ne veux pas que tu crois que...» Bon sang, elle semble s'enliser dans un truc de dingue là; le rouge lui monte aux joues et son coeur se met à battre en troisième vitesse dans sa poitrine.

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